Mise à jour et publication de mon histoire

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Il s’est écoulé beaucoup de temps depuis la dernière fois où j’ai publié un billet sur mon blogue.  Mon désir de partager mon histoire m’a amenée à réaliser deux projets pour tenter de rejoindre le plus de monde possible.  J’ai donc terminé l’écriture de mon histoire que j’ai publiée en livre numérique.  Vous pouvez donc maintenant connaître tout mon récit en achetant la version kindle de mon livre sur Amazon.  J’ai intitulé ce dernier: Cette autre réalité: le récit de mon trouble bipolaire du post-partum.  Cliquez sur ce lien pour y accéder et en faire l’achat: https://amzn.to/31kOcxp.

 

D’autre part, l’automne dernier, j’ai débuté ma propre chaîne YouTube (en français et en anglais) pour publier mon histoire en vidéo (un chapitre à la fois) en plus de partager des informations sur les troubles de l’humeur et de l’anxiété du post-partum.  Ma chaîne contient aussi des interviews avec des mères qui ont vécu un trouble de l’humeur du post-partum.  Mon mari partage aussi son expérience et son point de vue par rapport à mon expérience du trouble bipolaire du post-partum.  Je vous invite à jeter un coup d’oeil à ma chaîne et à vous y abonner:

https://bit.ly/2SWJkJU

 

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Derrière mon sourire de mère

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5 décembre 4x6 sepia

 

J’ai une révélation à vous faire.

Une forme d’aveu que je ne peux taire.

Quand mon fils n’avait que quelques mois

et que je le serrais tout contre moi,

je ne ressentais pas un grand attachement envers lui.

Je n’appréciais pas vraiment le temps passé en sa compagnie.

Quand je me réveillais le matin pour l’allaiter,

j’attendais impatiemment qu’il finisse de téter

afin de le confier à mon mari

et retourner dans mon lit…

jusqu’au prochain pleur de faim

qui ne réclamait que moi pour y mettre fin.

J’étais mieux dans mes draps

qu’avec lui dans mes bras.

Une fois levée, j’étais encore fatiguée et pas motivée

à passer mon temps à l’occuper.

Je n’avais pas le goût des « ga-ga », des « coucou »

ni des bisous.

Je le faisais par principe

et non remplie d’amour dans mes tripes.

C’était presqu’une corvée

plutôt qu’un plaisir partagé.

Bien lové contre mon sein,  ses sourires et ses babillages de contentement

n’avaient pas sur moi d’effet attendrissant.

Je préférais ne pas me retrouver seule avec lui

recherchant le plus souvent la présence d’autrui.

J’étais très anxieuse.

Je ne savais pas pourquoi je n’étais pas heureuse.

Mon rôle de mère m’apparaissait comme un fardeau.

Une charge de trop…

Je me disais que je n’étais pas à la hauteur

et en public, je refoulais mes pleurs.

Derrière mon sourire de nouvelle maman

se cachait mon véritable tourment.

 

Et c’est ainsi que la dépression

s’était installée sans invitation

dans ma nouvelle vie de mère

en y imprégnant son goût amer.

 

**************************************************

 

Savez-vous que 15 à 20 pour cent des mamans souffrent de dépression post-partum?  C’est un grand pourcentage!  Pourquoi en parle-t-on si peu?  Pourquoi encore tant de tabous l’entourant?  Pour que les femmes qui en souffrent cessent de se cacher et de subir leur douleur en silence, il faut s’informer, en parler et cesser de juger.  La dépression post-partum, ça se soigne et il n’y a pas de honte à devoir prendre des médicaments pour la vaincre.  J’ai reçu des soins appropriés et j’ai retrouvé mon plaisir de vivre et d’être mère.  (Dans mon cas, je vivais un début de dépression reliée à mon trouble bipolaire du post-partum, les symptômes étant toutefois les mêmes qu’une dépression post-partum).   La maternité n’a pas à être vécue dans la peine et le tourment. Chaque maman mérite de connaître toutes les joies et les bénédictions que son bébé peut lui procurer.

Si vous souffrez d’une dépression post-partum, vous pouvez manifester les symptômes suivants ou certains d’entre eux :

Symptômes de dépression post-partum :

  • Tristesse et/ou irritabilité extrême
  • Ne peut penser clairement ou prendre de décisions
  • Manque d’intérêt ou de plaisir dans les activités
  • Sentiments de culpabilité, particulièrement au sujet du bébé
  • Appétit accru ou diminué
  • Se sent inadéquate, particulièrement en tant que mère
  • Besoin de sommeil accru ou diminué
  • Pensées de suicide ou d’acte autodestructeur
  • Fatigue extrême

Source : Société canadienne de psychologie

 

Note importante : Ces informations sont données à titre de renseignement.  Elles ne remplacent en aucun cas un avis médical.  Si vous pensez avoir des symptômes de dépression post-partum, n’hésitez pas à consulter votre professionnel de la santé qui pourra alors poser un diagnostic adéquat.  Vous n’êtes pas seule.  Il y a de l’espoir.

 

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Double strike: une tranche de notre histoire

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brave

Le 1er mars, mon mari et moi avons passé une audition avec l’intention de participer au spectacle This is my Brave (http://thisismybrave.org/) dont la mission est de mettre fin à la stigmatisation reliée à la maladie mentale.  Chaque participant de ce spectacle vit avec une maladie mentale et présente un essai, un poème ou une chanson.  Ayant voyagé jusqu’à Washington l’an dernier pour y assister, nous avons décidé cette année de tenter notre chance pour faire partie de la 2e édition de ce spectacle.   Nous avons donc rédigé ensemble un texte racontant une partie de notre vécu avec le trouble bipolaire.  Malheureusement, notre performance n’a pas été retenue.  Nous étions déçus…  Mais voilà, un grand nombre d’auditions ont été passées et le nombre de participants était limité.  Nous avons été informés que le choix final avait été très difficile vu l’excellence de chacune des prestations.

Donc, à défaut de performer à ce spectacle, j’ai décidé de vous partager le texte que nous avons composé.  Il n’aura probablement pas autant d’impact que s’il avait été présenté à ce spectacle, mais je crois que ça vaut la peine de le partager à travers mon blogue qui se veut lui aussi un moyen de déstygmatiser la maladie mentale.

Bonne lecture et n’hésitez pas à partager ce billet si vous le voulez!

 

Double strike

(Gerhard)


She was dragged and pushed against her will. She was forced into the bathroom where a bathtub of cold water, with ice cubes in it, was awaiting her. After they stripped her clothing she was pushed into the bathtub making a loud gasp for air. This was my Mom in 1994 in the midst of a psychotic episode. No one knew what was really going on but this was my extended family’s way of being towards her.

Sometime after the event one of my aunts was recalling how my mom reacted to the cold bath to some other family members, laughing and giggling while doing so. It was all a joke to her. The solution was simple, confess your sins and your will get better!

Fast forward 15 years and I was seeing similar symptoms that of my mom but this time at the bedside of my wife. I could see the fear in her face holding on to my hands not wanting to let go.

 

(Geneviève)

I reluctantly let go of his hand so he could drive me to the hospital.  A few hours later, I was laying in an emergency room bed, nursing my one-month-old baby boy and experiencing inexplicable delusions and hallucinations. My right thigh was aching from what I was convinced was a blood clot.  Waves of terror were overwhelming my brain leaving my body shaking uncontrollably.  I thought I would die leaving my husband and newborn baby alone. The doctors I was seeing could not really figure out what was wrong with me. They decided to keep me under observation for the night.  Around midnight, I started feeling better and sleepy so my husband went home to get a few hours of sleep. Three hours later, I woke up fully rejuvenated. The pain was all gone. The terror was gone. “It’s a miracle! God has healed me!” is what I told the nurse in total awe. “I have so much energy I could run a marathon!” Worried that I would indeed leave the room to start my race, she hid my shoes. Fifteen minutes later, two nurses were by my bed ready to take my baby away from me. I convinced them that I needed to nurse him and that my husband would come shortly. I called him in complete desperation waking him up.  My words were racing out my mouth. I was panicking imploring him to come right away so I could keep our baby with me.  

 

When he arrived, I could tell by the look in his face that he was very concerned.  He knew. Something was really wrong. Yet all the tests I went through the previous day and in the morning came back negative.  I was then told by a doctor to go back home. “You have to tell yourself that it’s in your head.  Everything is fine. You’ll be fine” he said. Yes that’s what he told me! Fortunately for us, my midwife had come to see me after talking to my husband on the phone during the night. She could not believe that he wanted to send me home. Thanks to some of her acquaintance at the hospital, she managed to have me stay and be seen by a psychiatrist.

 

(Gerhard)

Here I was at the hospital with my wife. She was a roller coaster! Happy one minute, crying the other minute. I somehow had a pretty good understanding of what was going on. Growing up in a country where mental health resources were sparingly, my mom was officially diagnosed with Bipolar 10 years after she had her first psychotic episode and several more hospital stays. Back then, I spent time reading up on what Bipolar is and how it affects a person. This was a tremendous help when my wife was diagnosed as having Bipolar a few days after her stay at the hospital.

 

(Geneviève)

My manic mind was racing.  I could hardly concentrate.  The serie of words that the psychiatrist had just pronounced were too complex for my brain to grasp.  I then asked him to write them on a piece of paper I was intending to keep.  It read: Bipolar disorder of postpartum onset with psychotic features.  That was my diagnosis. With no symptoms before delivery and no history of mental illness in my family, here I was trying to understand the meaning of my diagnosis that would follow me for the rest of my life.  With medication, my husband support, my psychiatrist help and reading about  my illness in the months that followed my stay at the hospital, I realized fully what happened to me and came to the point of accepting it.  Surprisingly not ashamed of it, I started sharing my experience around me in hopes of helping to reduce the stigma attached to mental illness.

 

(Gerhard)

Then came my own diagnosis of Bipolar about 3 years after my wife was diagnosed. I learned that my illness had impacted me long before I was aware of it. Mostly because my Bipolar had manifested itself as a moderate high, with some minor depressive episodes, which had been easy to tolerate . I had a lot of ambitions in life and lived an adventurous lifestyle. Soon after we got married, it slowly changed and the episodes became more depressive. It got to the point where I didn’t want to live anymore.

 

After my diagnosis and two years of trial medications my psychiatrist found the right mix, which for the most part keep my mood stable. I’ve been told that my diagnosis of Bipolar is very likely genetic. The most difficult part was to accept the reality of my diagnosis. At first I did not not want to think of myself as having an illness much less a mental illness. The mere act of having to take medication seemed out of place. I had always thought of myself as being healthy. At first I told my wife not to tell anyone. Between the two of us we talked about it to some degree but even then I was fine with keeping it to myself. In part because of being a chronic introvert :-). I saw a therapist for a while which helped to come to terms with my diagnosis as well.  

 

I don’t know if I ever see myself being a vocal advocate for mental health but when opportunities arise I will tell my story. My mom’s life has had a big impact on me and it makes me realize that everyone struggling with mental illness needs to find a place to be heard and accepted.   

 

(Geneviève)

In sickness and in health we promised to cherish and to love each other. When we pronounced these vows in August 2008 we did not know what the future was holding for us, least of all being diagnosed with the same mental illness.  But despite this hardship, we live a stable and productive life. We both are successful in our career. We are proud parents of two wonderful children, our boy and a baby girl born last September.   We have learned to recognize and to respect our limits in order to navigate with confidence through the waves of our day to day life.  Our mental illness does not define us.  We are filling our lives with hope, with dreams and courage to be the best model we can for our kids.  We love you Elliot and Teresa!

 

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Reportage sur le trouble bipolaire

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Reportage Radio Canada bipolarité

Quelques jours après la mort de Robin Williams, Radio-Canada a fait un reportage portant sur le trouble bipolaire.  On y retrouve entre autres un très beau témoignage d’une femme qui vit avec cette maladie mentale depuis déjà plusieurs années.

Je vous invite à cliquer sur le lien ci-dessous pour visionner ce reportage dont le but est de briser les tabous entourant cette maladie:

http://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/7142119#

Bonne écoute!

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Le chapitre 11 de mon livre

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Un autre chapitre de mon livre est enfin complété (chapitre 11).  Pour le lire, vous n’avez qu’à cliquer sur “Chapitre 11” dans le menu “Mon livre”.  Bonne lecture!

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Thank you Dr.M.

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(Chers lecteurs, aujourd’hui, je participe au concours d’écriture  “Writing Contest: You Are a Writer” lancé par l’écrivain Bryan Hutchinson sur son blog Positive Writer. J’ai accepté de relever le défi d’écrire mon texte en anglais.)

 

I was sitting on a straight-backed chair in a hospital room, staring at Dr. M., a young doctor who was quietly reading a manuscript I had just written. I was desperately awaiting his reaction, trying to infer what I could from his silent, diligent reading, his scratching of the back of his head, and the fact that he did not look at me once… I thought that perhaps he felt uncomfortable, realizing the mistake he had made in misdiagnosing my condition. Maybe I was right, but I was surely not expecting to hear what he had to tell me once he was done reading…

*          *          *

Just a few days before, I had been lying in an emergency room bed, holding my one-month-old baby, experiencing inexplicable delusions and hallucinations. I was a long way from knowing that I was in the midst of my first manic and psychotic episode. In fact, even the doctors I was seeing could not really figure out what was wrong with me. It wasn’t until Dr Sayeed, a sensitive psychiatrist, interviewed my husband and me that he made the unexpected diagnosis: the postpartum onset of a bipolar disorder with psychotic features (a mental illness also known as manic-depressive disorder, classified by psychiatrists as a mood disorder. At the most severe level, individuals can experience very distorted beliefs about the world known as psychosis.)

That information, although serious, did not resonate with my ill brain at the time. It wasn’t until the next morning, when my first dose of medication from the night before had taken effect, that I broke down in tears a few seconds after I opening my eyes. With my delusions gone, I suddenly realized the gravity of my medical condition. Alone in my hospital room, feeling lonely and totally misunderstood by the nurses who tried to cheer me up, I did what has been coming naturally to me for years: I put down on paper what I was experiencing. I wrote about my deepest feelings and all the thoughts that were crossing my freshly-medicated mind. Maybe, I thought, the doctors would understand me better if they could read about my unstable way of thinking instead of hearing about it.

For as long as I can remember, writing has always brought me satisfaction and joy, especially when I could share my work with an audience — which I did for the first time when I was seven years old.  All throughout my elementary, high school and college years, I derived real pleasure from writing, especially short stories of different kinds. My teachers thought I was talented. But when I started dreaming of pursuing a career in French literature, a guidance counsellor put an end to my hopes. “What kind of future would a degree in that field provide you?” she asked. “You would have better chances of success by getting an education degree.” Putting all my confidence in her “professional advice”, I set aside the idea of a degree in literature and started pursuing a career in elementary teaching, which had been my second choice. But deep down inside I knew that I was capable of using my writing skill to accomplish something that I could be proud of.  A dream made its way into my soul about writing a book and publishing it. I was convinced that I could do it. I just did not have a clue about a topic I could write about!

The university years passed and I had successfully started my profession as a teacher. I also fell in love with children’s literature. I began envisioning myself writing children’s books. I did start a few short stories but I’d never had the perseverance to finish even one of them. I guess I was lacking confidence in myself. The resistance from my “reptilian brain” was at work and I was plagued with self-doubt.  Was I really talented enough to write a book that would capture the attention and the imagination of a young audience? Was I dreaming too big in hoping to be published? Feeling a bit disillusioned, the only thing I had kept doing on a more regular basis was journaling — until that memorable day at the hospital.

*          *          *

When Dr. M. finally lifted his eyes from my manuscript to meet mine, I expected to hear him acknowledge the severity of my mental state. But instead, he uttered two sentences that totally resonated with my then-shattered soul: “You are very talented. You should consider writing a book about this.” I was speechless. It was the feedback I needed to finally accomplish my dream.

In the following months, I put his words to action: I started writing a memoir about my postpartum experience. I could clearly picture myself sharing my story with other women going through a similar experience, letting them know that they were not alone.

Two years later, I started a blog, sharing my journey through bipolar disorder and offering information about different postpartum mood and anxiety disorders. I also decided to post each chapter of my memoir as I completed it.

Will I finish writing my memoir? Yes I will.  Will I ever get it published? I don’t know yet.  That’s no longer my primary concern, since my blog is already reaching an audience and having an impact. What I do know now is that I have bipolar disorder. I have a voice. I have a dream. I AM a writer!

 

 

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Le chapitre 10 de mon livre

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Un petit mot pour vous dire que vous pouvez maintenant lire le 10e chapitre de mon livre.  Vous y retrouverez des hauts et des bas du début de ma convalescence : des attentions spéciales de mon entourage et des défis reliés à ma santé mentale.

Bonne lecture!

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La suite du chapitre 9

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Je viens enfin de terminer la suite du chapitre 9.  Vive les vacances!  Ça me donne beaucoup plus de temps pour me consacrer à l’écriture.

Chaque fois que je rédige un nouveau chapitre de mon livre, je questionne mon mari pour obtenir plus de détails que ce que mes souvenirs m’ont laissés. Il arrive souvent que ma mémoire me fasse défaut et ce qu’il me raconte vient corriger ce qui s’était faussement ou pas du tout imprégné dans celle-ci en raison de l’instabilité psychologique à laquelle je faisais face au moment où je vivais ce que je vous raconte.

C’est donc en questionnant  mon mari sur le moment exact où j’ai reçu le diagnostic de trouble bipolaire que j’ai réalisé que je m’étais trompée en rédigeant la première partie du chapitre 9.  En fait, je ne me souviens pas du tout de la première fois où on me l’a annoncé.  C’était bel et bien lors de l’entretien si désagréable que j’ai eu avec le psychiatre dont je fais la mention dans ce chapitre.  J’ai donc fait quelques ajouts à la première partie de ce dernier.  Je vous encourage donc à en refaire la lecture pour mieux comprendre la suite.

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Une invitation à m’encourager

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Comme la plupart d’entre vous le savez, la naissance de mon fils Elliot n’a pas été une expérience des plus faciles pour moi.  J’ai fait partie des 15% de nouvelles mères ou femmes enceintes qui vivent une dépression, de l’anxiété, une psychose ou toute autre trouble de l’humeur relié au post-partum.   Un jour que je recherchais plus d’informations sur ma condition, je suis tombée sur un blogue : Postpartum Progress (www.postpartumprogress.com).  Cette merveilleuse communauté de femmes combattantes a été une très belle trouvaille et un support pour moi. Postpartum Progress a été là quand j’en ai eu besoin et je veux les aider à atteindre encore plus de femmes enceintes et de nouvelles mères.

Je suis donc fière de participer au premier événement mondial Climb out of the Darkness pour sensibiliser la population à propos de la dépression du post-partum et les autres maladies mentales reliées à la naissance.  Le 21 juin, le plus long jour de l’année dans l’hémisphère Nord, les survivantes de la dépression du post-partum ou d’autres troubles du post-partum organisent une escalade en montagne ou une marche dans un parc afin de symboliser notre sortie collective de la noirceur et la discrimination reliée à ces maladies.  Le but de cet événement est aussi  de ramasser des fonds pour aider Postpartum Progress, Inc., une organisation sans but lucratif, localisée aux États-Unis, qui a été fondée pour supporter le blogue et créer de nouveaux programmes pour supporter des mères à travers le monde.

Jusqu’à maintenant, plus de 70 différentes randonnées auront lieu aux États-Unis, au Mexique, au Canada en Europe et en Nouvelle-Zélande, incluant la mienne qui se tiendra à Fork of the Credit Provincial Park, située à Caledon, en Ontario.  Les fonds amassés lors de cet événement  seront utilisés à deux fins spécifiques : Postpartum Progress, Inc. (a 501(c)3 public charity, federal tax ID 27-3100405) est en train de créer un nouveau matériel éducatif au sujet de la dépression du post-partum qui sera utilisé par les obstétriciens, les pédiatres et autres.  Un autre matériel est aussi créé pour éduquer les médias par rapport à l’impact de la dépression et des autres maladies du post-partum sur la santé des mères et des enfants.

M’encourager dans cette cause est simple et rapide.  Vous pouvez faire un don en ligne sur mon site Crowdrise fundraising

http://www.crowdrise.com/postpartumprogress/fundraiser/genevivedesrochers

S.V.P. aidez-moi à aider de nouvelles mères à travers le monde à guérir rapidement de  la complication la plus commune reliée à la naissance.

Merci!

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Le chapitre 9 de mon livre

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L’écriture du chapitre 9 de mon livre s’étire… J’ai du mal à trouver le temps d’écrire dans mes fins de soirées bien souvent chargées de tâches à faire qui son reliées à mon emploi.  Pour faire plaisir à ceux qui ont bien hâte de lire la suite de mon histoire, j’ai donc décidé de publier ce que j’ai de fait jusqu’à maintenant.  Le reste du chapitre suivra sous peu, je l’espère bien!

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